POEME
Dans les mots
la fragilité du provisoire
Il y a le fil de la parole
qui sous-tend tout discours
Et quelques pas qui avancent
dans les ombres du jour
Bords de quelques avanies
Le portrait des amis
décore les silences des minutes
A la table les étrennes
font glisser un peu plus les couleurs
OCTOBRE 2012
ERIC DUBOIS