POEME
à Jean-Pierre Siméon
Et ces griffures de sable
éreintent le miroir
Et l'eau du chant
est captive de la mémoire
Echec et mat disent
les plus lucides
Dans le métro bondé
les aventuriers du travail
ne sont que participe
passé
A l'indicatif d'un verbe
qu'effacent nos larmes
Dont on ne sait plus le sens
Juillet 2019
ERIC DUBOIS