TEXTE D'AUNRYZ - LES VASES COMMUNICANTS DE MAI 2016
Peur
De cette tendresse
à ensevelir les corps
dans une brume où la lumière se perd
où les chairs s’éprennent bien avant la mort
des odeurs de terre.
Des promesses crochues
d’obscurité
si profonde si noire si salée que
le regard y perd sa pensée
les chemins leurs fossés
le corps son tombé.
De l’ éternité doux-sucré
qui coule
sur la terre des vivants
les joues des enfant
fige la lune et les marées
vide le silence et ses secrets
transforme l’oubli en passé.
De la vie
qui force le cœur à battre
le sang à brûler
AUNRYZ
Bio
aunryz ( /Lélio Lacaille)
patronyme à traçabilité
Luc Comeau-Montasse
brindille encore flamme
du fagot des Nombreux
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