POEME
En terre de mots, l'argile s'éprend. Quelque chose du masque teinte le quotidien. Tous les morts qui nous regardent peut-être et dont les rêves emplissent nos souvenirs. La nuit porte les habits du monde. Quand l'obscur troue les étoiles, il faut chercher l'étoile, l'unique, dans le fond du sablier, car toute parole est crépusculaire.
MARS 2015
ERIC DUBOIS