POÈME
J'attends et le jour attend aussi Quelques silences découpent ces moments Je ne donnerai pas de titre à ce poème et j'ai bien envie de le laisser inachevé Juillet 2011 ERIC DUBOIS
Les tribulations d'Éric Dubois.
Journal littéraire animé par Eric Dubois. Dépôt légal BNF. ISSN 2268-3348. © Les Tribulations d'Éric Dubois. 2009-2020. Illustration : Nicolas Fleurot. Tous droits réservés.
J'attends et le jour attend aussi Quelques silences découpent ces moments Je ne donnerai pas de titre à ce poème et j'ai bien envie de le laisser inachevé Juillet 2011 ERIC DUBOIS
poète Demain juste quelques mots : à peine la nuit couvre le jour qu’ il est l'heure d'appréhender le monde je m'explique, seul, contre l'objet qui vous oppose une fin de non-recevoir la poétique du mot circonscrit le spectacle du vide avril 2004 ERIC...
le questionnement est la base de toute écriture toute écriture est hypothèse toute écriture est projet d'une œuvre oeuvre en construction oeuvre en devenir oeuvre et miroir l'addition des mots patiemment imposée quand l'écriture contient l'univers Février...
DIPTYQUE N°2 - EXTRAITS - ( REVUE LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE SEMESTRIELLE ) Revue sur papier et revue électronique. A lire sur : http://issuu.com/revuediptyque/docs/diptyque-2extraits Plus d'infos : http://diptyque.wordpress.com/
Une voix entendue en soi toujours en avant Et quelque chose de tiède dans l'air Un rappel ? La sédimentation des jours Et le silence de la pensée Juillet 2011 ERIC DUBOIS ( En écoutant l'Ouverture de Don Giovanni de Mozart )
C'est dans la nuit enfermé dans le jour Plusieurs points de vue c'est du possible Et ça disparaît dans les pas Mai 2011 ERIC DUBOIS Lire d'autres poèmes sur : http://nouvelorphee.blogspot.com
( En écoutant "Impressions " de John Coltrane ) Néant qui nous hante Lumière qui nous habille de charbon de bois Eblouissez-nous de vibrations Notre époque est malade ma voix sur ton répondeur n'a plus d'impact Nous ne transcendons rien (1995) ERIC D...
Dans le verger profane masqué par la voix profonde Mon instinct me guide vers la fraîcheur de tes sanglots Je ressens la pâleur de l'absence Et je ne sais plus si je dois m'y soustraire ou bien l'oublier (1995) ERIC DUBOIS
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