POEME
Le temps ne guérit que doucement par intermittences l'absence des choses.
L'éternel est mon présent et je ne le nomme pas.
Le parfum des fleurs se mêle à la langue des souvenirs et des regrets et à la pierre des sacrifices.
Le parfum des fleurs se mêle à la langue des morts.
Octobre 2013
ERIC DUBOIS