POEME
Chaque poème questionne l'invisible. Le jour toujours imparfait des habitudes.
Le geste est le drap invisible du temps.
Nous devenons une étoile quand le ciel blanchit nos pas.
Je n'existe que par le sens que l'on me donne.
Sur le sillon des jours, la charrue des morts.
Novembre 2015
ERIC DUBOIS